Hier épicentre de l’avant-garde, la Grosse Pomme attirerait moins les jeunes chorégraphes. Etat des lieux à l’heure où démarre un vaste projet de coopération franco-américaine. (…)
Parler de fuite des cerveaux ou d’exode chorégraphique serait trop lyrique et pas tout à fait exact. Néanmoins, Lili Chopra, directrice artistique du French Institute-Alliance française à New York, admet : «Pour les chorégraphes, New York reste une plateforme où il faut présenter son travail. Après, concernant la formation et les possibilités de production, il est vrai que c’est l’Europe, en particulier la France, qui aimante.»
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