« … Avec l’Alliance française de Port-Saïd et le Centre d’enseignement du français de Mansourah, on compte plus de 12 000 inscriptions pour des cours généraux ou plus spécifiques, à destination de très jeunes enfants comme des adultes. Une formation destinée aux diplomates égyptiens est également mise en place, en étroite coordination avec le ministère des Affaires étrangères et avec le soutien financier de l’OIF. »
Lire l’article paru dans JEUNE AFRIQUE sur l’état du français en Egypte (28 juillet 2015) >>